L'idée est fort originale ; elle a été mise en pratique depuis les années 1980 – les années Mitterrand –, et nous en connaissons le résultat : davantage de chômage, la désindustrialisation du pays et des pertes d'attractivité. Ce n'est pas la solution. La France est le pays où les prélèvements obligatoires sont les plus élevés. C'est pourquoi notre majorité s'est engagée à baisser les impôts et à rendre le pays plus attractif, tout en continuant à financer nos priorités – comme le fait ce budget pour l'éducation nationale –, sans oublier notre cap qu'est le redressement des finances publiques.