En effet : je viens de vous parler de la libération sous contrainte, qui est issue de la Chancellerie et non d'une initiative de votre groupe ! S'y ajoutent un certain nombre d'autres dispositions.
Personne n'a le monopole du cœur : la formule est aujourd'hui un peu éculée, mais il faut parfois ressortir les vieilles recettes. Je veux travailler sur cette question, car ce texte a été voté par la représentation nationale et n'est pas suffisamment appliqué.