Nous demandons non pas une hausse des crédits, mais le maintien du montant inscrit l'année dernière. D'ailleurs, M. le rapporteur spécial vient de confirmer que le budget alloué diminue de 4 millions, puisqu'il passe de 18 millions à 13,7 millions. Or, en matière de radicalisation islamiste, de plus en plus de personnes doivent faire l'objet d'un suivi.