L'application du plan national de prévention de la radicalisation de 2018 reste en effet prioritaire. Permettez-moi de souligner qu'en 2024, le fonds interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation est porté à 87,4 millions d'euros, bénéficiant ainsi de 3 millions supplémentaires, conformément à la trajectoire prévue par la loi d'orientation et de programmation du ministère de l'intérieur (Lopmi) pour renforcer la vidéoprotection, dans la continuité de la loi de finances initiale (LFI) pour 2023.
En outre, à la suite des violences urbaines survenues au début du mois de juillet, l'ouverture de 20 millions d'euros de crédits supplémentaires est prévue, comme je l'ai indiqué cet après-midi, dans le cadre du prochain projet de loi de finances rectificative (PLFR), afin d'accroître les moyens dédiés à la vidéoprotection.
Avis défavorable.