Je voudrais rendre hommage au travail qui a été effectué par notre collègue Didier Le Gac en tant que président du groupe d'études sur l'amiante, dont je suis membre également.
On ne peut pas se satisfaire de la situation. Il faut tout mettre en œuvre pour permettre aux victimes de bénéficier des droits auxquels elles peuvent prétendre. C'est la logique de l'amendement. Il faut absolument continuer à lutter contre ce fléau en recourant à tous les moyens nécessaires.
J'ai été fort marri d'entendre le directeur de l'Oniam, lors de son audition la semaine dernière, continuer à envisager une fusion avec le Fiva. J'espère que, dans l'esprit du Gouvernement, ce projet est vraiment derrière nous car c'est une très mauvaise idée. Il faut que l'amiante reste présent et visible dans le débat public.