Merci de nous permettre d'aborder cette question importante alors que le texte nous laisse peu de prise pour cela. Nous devons nous en préoccuper de manière beaucoup plus décisive. Notre société est sous tension, beaucoup de personnes ne vont pas bien, mais elles n'ont pas accès aux soins dont elles auraient besoin, que ce soit en addictologie ou en psychiatrie. On leur dit qu'on ne peut pas les prendre, qu'on ne peut même pas leur donner une date, qu'il n'y a pas de place avant des mois ; alors elles vont de plus en plus mal. On ne peut pas s'en satisfaire. Le dispositif Mon soutien psy n'est absolument pas une solution ; je regrette qu'on n'en tire pas les conclusions au bout d'un an de fonctionnement et après le rapport que nous avons présenté à son sujet.