Peut-être pourrait-on inverser les choses. Comme l'a dit monsieur Guedj, les organisations sont plutôt unanimes pour dire que la rectification engagée n'est pas suffisante, certains établissements ne disposant pas de l'autofinancement nécessaire pour engager les investissements attendus au titre du Ségur de l'investissement. Une structure pour l'autisme m'a ainsi fait part de ses difficultés, tandis qu'un établissement de santé a dû, lui aussi, reporter cet investissement, voire l'annuler.
Peut-être pourrez-vous, madame la rapporteure générale, porter cet amendement auprès du Gouvernement la semaine prochaine, lors de l'examen du texte en séance publique.