M. Jumel a raison : pour que l'amendement soit recevable, nous ne pouvons pas faire autrement que de prélever les fonds que nous demandons sur une autre ligne de crédit. L'exposé sommaire appelle d'ailleurs le Gouvernement à lever le gage.
Nous sommes opposés au principe de l'amendement car nous pensons qu'il faut s'attaquer aux marges des intermédiaires plutôt que de tout financer avec de l'argent public. Où en est le chèque anti-inflation promis par Mme Borne et M. Le Maire ? Finalement, cet amendement vise simplement à réaliser une promesse du Gouvernement.