Nous savons tous que les chiffres qui remontent des établissements ne sont pas fiables. Les chefs d'établissement appliquent le principe du « pas de vague » et ne veulent pas attenter à la réputation de leur établissement, notamment dans les cas d'atteinte à la laïcité. Certains craignent aussi d'être accusés d'islamophobie et subissent des pressions exercées par des parents d'élèves islamistes.
Je demande la création d'un indicateur national, ce qui contraindra la DGESCO à exiger des établissements la sincérité des remontées.