Je suis désolé que nos réponses ne satisfassent pas M. Walter. J'ai pourtant le sentiment que nous prenons le temps de répondre et je n'ai pas l'impression que nous méprisions les remarques qui nous sont faites.
J'entends que nos réponses ne vous conviennent pas. Cependant, vous ne pouvez pas nous renvoyer vers le terrain, vers nos circonscriptions, comme si nous n'y défendions pas notre projet, notre programme. Nous y rencontrons aussi des habitants qui sont d'accord avec nous. Je crois également savoir que certaines de vos positions actuelles peuvent susciter des mécontentements.
Je suis sur le terrain tous les week-ends et une partie de la semaine quand le travail de l'Assemblée nationale me le permet ; je l'étais avant d'être député, puisque j'étais maire de ma commune. Sur ce sujet, ni Philippe Fait ni moi n'avons de leçon à recevoir.