Il est tout à fait anormal qu'un million d'agents de l'Éducation nationale soient privés d'une médecine préventive digne de ce nom, mais il faut considérer ce problème d'une manière plus large. Compte tenu de la modicité des effectifs du corps médical, peut-être faudrait-il rechercher des solutions de mutualisation avec d'autres ministères, voire avec d'autres fonctions publiques. Cela excède le champ de ce débat budgétaire et mériterait peut-être que l'on se rapproche de la commission des affaires sociales pour lancer une mission flash.