Nous ne voterons pas ces cinq amendements. D'abord, les crédits des fonds sociaux sont notoirement sous-consommés : les abonder n'a donc pas beaucoup de sens. Les établissements eux-mêmes conduisent des campagnes d'information, dès la rentrée scolaire. Les informations concernant les fonds sociaux figurent souvent dans les brochures d'accueil des établissements. Il est donc inutile de dépenser de l'argent public pour des campagnes nationales.
Enfin, nous dénonçons la crispation obsessionnelle des auteurs des amendements sur le programme 139 Enseignement privé du premier et du second degrés, taillable et corvéable à merci, pour subventionner toutes sortes de fantaisies.