Je reviens sur la question déjà posée lors de l'audition publique au sujet du retrait de nos 1 500 militaires du Niger et, plus globalement, de notre désengagement en Afrique. Pourriez-vous nous dire quelles sont les conséquences de ces choix et évoquer la réorganisation qu'ils impliquent ? Ne craignez-vous pas une diminution de nos capacités d'action, notamment pour nos opérations clandestines ?