Mes chers collègues, nous entamons désormais la partie à huis clos de cette audition, qui nous permet d'envisager des échanges plus libres et plus ouverts.
Mon général, parmi les questions qui n'ont pas fait l'objet de réponses de votre part dans la partie publique de l'audition, j'ai notamment noté celles relatives au Niger. Le groupe La France Insoumise souhaitera peut-être poser à nouveau des questions sur la dissuasion.