Je souhaite plus particulièrement évoquer les 300 millions d'euros qui sont attribués au cyber et qui recouvrent différents aspects, depuis la protection des systèmes d'information de communication militaire jusqu'à la facilitation de l'emploi de la cryptographie. En outre, vous avez souligné la nécessité de se transformer face aux menaces qui elles-mêmes évoluent. À ce titre, la lutte informationnelle est quand même devenue un des enjeux majeurs, comme le confirme le conflit en Ukraine.
Par conséquent, de quelle manière s'articulent nos capacités cyber offensives, défensives et d'influence informationnelle ? Comment s'articulent la défense nationale et la sécurité nationale ? Ici, nous pouvons constater l'existence d'une certaine porosité entre le privé et le public. De quelles manières ces sommes seront-elles fléchées ?