Permettez-moi d'enfoncer le clou. Nous avions discuté l'année dernière de ce dispositif, sur lequel nous exprimions quelques doutes ; nous n'étions pas les seuls, mais cela n'avait pas suffi à faire évoluer le débat. Nous revenons sur les dispositions prises de manière un peu bizarre et, si je comprends bien, nous y reviendrons encore l'année prochaine – cela mériterait sans doute de changer notre façon de travailler.
Nous soutenons, bien sûr, l'amendement de notre collègue Guedj, puisqu'il vise à organiser les concertations avec les professionnels concernés, selon des règles précises. Néanmoins, vous reconnaîtrez que la manière dont nous légiférons n'est pas très satisfaisante. C'est pourquoi je le souligne à mon tour.