Mais ce n'est pas tout. Après vous être acharnés à maintenir un top niveau d'exonérations pour le capital, vous venez piquer dans les cotisations des salariés, celles des retraites complémentaires de l'Agirc-Arrco et celles de l'Unedic.
Pour l'Agirc-Arrco, dont la gestion est paritaire, alors que les cotisations ont pour seule destination les retraites complémentaires qui peinent à suivre l'inflation, vous vous servez – tranquille, Émile ! – en expliquant que le régime vous doit bien ça puisque les assurés cotisent plus longtemps à cause de vous.