L'aide apportée permettra de fournir des biens de première nécessité – eau, nourriture, médicaments – aux populations civiles. Elles en ont besoin à Gaza ; la situation humanitaire y est terrible.
Les premiers convois sont passés ; il doit y en avoir d'autres car il faut pouvoir répondre de manière durable aux besoins. La France y travaille, en liaison avec ses partenaires. La distribution de l'aide suppose une trêve humanitaire, je le répéterai demain aux Nations unies.