Toutes celles et ceux qui interfèrent avec la parole de la France en apportant un soutien inconditionnel à la riposte de Netanyahou commettent une faute lourde. Ils fragilisent le chemin vers la paix.
En tout premier lieu, la grandeur de la France doit être de présenter une nouvelle résolution au Conseil de sécurité de l'ONU exigeant une pause humanitaire – cette pause humanitaire qui, grâce au travail des écologistes, notamment, est désormais la position officielle du Parlement européen, adoptée à une très large majorité.