La Première ministre l'a justement rappelé : la France s'est engagée avec force sur cet enjeu essentiel. Au-delà des mises en garde, l'Union européenne doit prendre toutes ses responsabilités pour assurer avec les organisations humanitaires l'acheminement massif des moyens de survie d'une population civile en détresse profonde. Sachons faire de ces gestes forts l'instrument du retour des otages.