Les États-Unis ont eux aussi leur part de responsabilité historique dans l'armement du piège, eux qui n'avaient guère encouragé les efforts des Européens en faveur d'un processus de paix fondé sur la quête d'une solution à deux États et qui, à l'initiative de Donald Trump, ont basculé dans le camp des pousse-au-crime en cassant les accords de Vienne avec l'Iran et en cautionnant le transfert de leur ambassade à Jérusalem.