J'ai une pensée particulière pour nos ressortissants, notamment pour les victimes françaises et les disparus, leurs proches et leurs familles. Nous sommes à leurs côtés.
Minimiser, justifier, voire absoudre le terrorisme, c'est accepter qu'il frappe à nouveau demain, en Israël, en France ou partout ailleurs. Nous ne devons faire preuve d'aucune ambiguïté face à de tels crimes. Le Président de la République l'a affirmé avec force : Israël a le droit à la sécurité et a le droit de se défendre dans le respect du droit international. Ceux qui confondent le droit des Palestiniens à disposer d'un État et la justification du terrorisme commettent une faute morale, politique et stratégique.