Je sais que ces amendements heurtent certains établissements lucratifs – ils me l'ont abondamment écrit hier. Toutefois, la question de la différence de traitement se pose, dès lors que la prise en charge doit être de même qualité, pour respecter la dignité des résidents.
Pour certains établissements, la loi prévoit des tarifs réglementés, encadrés par les conseils départementaux ; d'autres peuvent aller chercher de la marge. Dans l'intérêt de la filière et des usagers, il faut trouver un système capable d'harmoniser les situations et de susciter une concorde nationale.