Le mot de « racket fiscal » est excessif, car s'il s'agit bien de l'argent des Français, il est consacré à des dépenses publiques pour ces mêmes Français. L'argent ne disparaît pas sur un obscur compte en Suisse, il paie nos services publics !
Je m'effraie un peu de la surenchère de ces amendements : le précédent représentait une dépense de 6 milliards, et le coût de celui-ci, qui dépend certes du prix du baril, est de l'ordre de 24 milliards. Il y a de quoi redouter l'amendement suivant ! Cette proposition, qui n'est ni raisonnable ni tenable, est objectivement démagogique. Avis défavorable.