Non, ce sont des entreprises historiques. Avant, on parlait de coopération entre opérateurs historiques dans le but de développer le ferroviaire. Au conseil d'administration, où je siégeais, on parlait de guerre économique, il fallait jouer à ce qu'on appelle le « Cheminopoly ».
À l'époque du ministre Djebbari, nous avions fait des propositions concrètes. La volonté de bouleverser la politique des transports du pays était réelle.