Je mesure évidemment l'importance de cette évolution ; mais vous savez comme moi que lorsqu'une procédure va à son terme et qu'aucune solution n'a été trouvée, le risque est d'aller jusqu'à une cession de 50 % du chiffre d'affaires. C'est ce qui est arrivé à Alitalia et c'est précisément ce que nous avons souhaité éviter.