Je suis effarée d'une telle malhonnêteté intellectuelle. Nous n'avons absolument pas une vision misérabiliste de la vie étudiante. Cette proposition de loi vise simplement à donner un coup de pouce à ceux qui prennent la peine de travailler.
M. Sitzenstuhl, quant à lui, doit avoir des ambitions européennes et préférerait sûrement siéger au Parlement européen plutôt qu'ici. Il feint de découvrir que nous sommes favorables à la priorité nationale, y compris en matière d'emploi et de logement. Lorsque l'on est député de la nation française, qui compte 10 millions de pauvres, on s'occupe en priorité de son propre peuple. Ce bon sens devrait être transpartisan.