Cet article ne permet en rien de lutter contre la précarité grandissante qui touche la jeunesse. Il ne cible en effet que les étudiants titulaires d'un contrat de travail et exclut ceux qui ne peuvent pas travailler, qui n'ont pas trouvé de travail, les 1 500 000 jeunes qui ne sont ni en études, ni en emploi, ni en formation, ainsi que les étudiants de nationalité étrangère.