Nous connaissons en effet les incidences des navires de croisière sur l'environnement et le type de tourisme qu'ils génèrent. Ce secteur, par ailleurs, emploie 16 000 personnes.
Un navire de croisière fait du cabotage et peut jeter l'ancre dans un port différent chaque jour. Si le carburant est trop cher en France, il se fournira dans un port étranger et l'État perdra des recettes fiscales. Je suggère donc de mener ce combat sur le plan européen. Demande de retrait, sinon avis défavorable.