Je vous remercie de nous la faire parvenir.
Vous plaidez pour l'imprescriptibilité des crimes sexuels sur mineurs et la reconnaissance de l'amnésie traumatique, cette perte de mémoire que subissent certaines victimes du fait de la violence des faits. Vous défendez la combinaison de ces deux mesures parce que, dites-vous, on ne se souvient pas toujours de ce qui s'est passé et, quand on s'en souvient, il est parfois trop tard. Pourriez-vous, s'il vous plaît, développer ce point ?