Vous dites que, lorsque vous avez voulu parler, au sein de la fédération ou au ministère, vous avez trouvé porte close, qu'on vous a demandé de ne pas trop évoquer cette affaire, et que votre livre était votre dernière chance de vous exprimer. Considérez-vous que la situation a changé et que les victimes peuvent davantage s'exprimer aujourd'hui ? Sont-elles assez entendues, que ce soit au sein de la fédération française des sports de glace ou dans d'autres ? J'imagine en effet que vous côtoyez toujours des sportifs de haut niveau, qui savent que vous êtes à l'écoute.