J'y suis, madame la présidente. Le contexte éclaire le texte, et expliquer ne revient pas nécessairement à excuser.
En effet, ce sont des paroles du Président de la République, du ministre de l'intérieur et du garde des sceaux qui ont inspiré cette proposition de loi du Rassemblement national. Je note à cet égard que votre argumentation a été bien plus frileuse que celle de certains députés de la majorité, à l'instar de Mme Abadie, qui ont été très clairs au sujet de la dimension antipauvre…