Or pour pouvoir éduquer des enfants, des parents doivent être capables de les accompagner.
En supprimant la part qui reviendrait aux « mineurs délinquants », vous risquez de déstabiliser le reste de la fratrie, voire la totalité de la famille, parce qu'il n'y aurait plus les moyens d'accompagner les enfants comme il faut. Aussi le remède que vous proposez est-il pire que le mal.
J'aurais préféré que vous proposiez que, quand un enfant est placé parce qu'un parent le bat, les allocations soient systématiquement suspendues. Or ça ne vous intéresse pas.