Je précise que l'interdiction ne s'appliquerait que dans des espaces naturels où les visiteurs sont déjà soumis à des contrôles – c'est le cas par exemple dans le parc national des Calanques, pour limiter la pression exercée par le tourisme. L'interdiction ne s'appliquerait pas dans n'importe quelle forêt de France ! Nous accordons simplement une faculté aux gestionnaires d'espaces naturels qui le souhaitent ; ne parlez pas de généralisation ! Vous dramatisez le contenu de l'article, alors qu'il s'agit d'une opportunité pour les espaces naturels où la pollution par le plastique est excessive.