Il n'est pas raisonnable de reporter l'interdiction – à 2040, à 2035 ou même à 2030 – de l'usage, dans les produits du quotidien, de substances dangereuses pour l'homme. J'ignore quelles sont vos sources, monsieur Di Filippo, mais les études menées par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) et Santé publique France montrent un fort taux d'imprégnation chez les Français. Ne confondons pas les différents plastiques : le polystyrène n'est pas une substance perfluorée, et ce sont donc deux sujets distincts. Avis défavorable.