Je crois qu'on se trompe de débat.
Il ne s'agit pas d'empêcher l'innovation technologique, mais de faire face à ce qui constitue un jeu d'argent et de hasard qui ne dit son nom, qui n'a pas demandé d'agrément mais qui repose sur un support numérique.
Il faut donc appliquer à ce support les règles afférentes aux jeux d'argent et de hasard – qui sont celles proposées par l'amendement du rapporteur – mais aussi la fiscalité prévue pour les entreprises de ce secteur.
Quelle est la différence entre les jeux d'argents et de hasard et un Jonum, qui justifie qu'on leur applique les mêmes règles mais pas la fiscalité ?