Dans son avis, l'Autorité de la concurrence évoque uniquement les tests, mais pas la perspective d'un avoir d'ensemble d'une durée de trois ans. Elle souligne d'ailleurs que les start-up, n'étant pas interopérables, sont captives du fournisseur avec lequel elles ont commencé à travailler. À terme, celui-ci peut évaluer la maturité de la solution de la start-up et prendre des participations à son capital, voire l'acheter, ce qui arrive régulièrement ; dès lors, elle est intégrée dans la solution de l'un des trois principaux géants actuels. Trois ans, c'est la durée de vie d'une start-up avant qu'elle se fasse racheter : il ne faudrait pas perdre le soutien de ces start-up dans la construction de notre économie.