L'exemple de la carte SIM des ascenseurs n'a pas de rapport avec la mesure que nous examinons. Dans un tel cas, le mal est fait avant qu'on puisse réagir. Les voleurs ne sont pas idiots, ils auront envoyé les messages d'hameçonnage aussitôt.
Encore une fois, nous sommes inquiets de la disproportion entre l'atteinte aux libertés publiques et l'inefficacité du dispositif.