Je ne suis pas opposé au filtre anti-arnaque. Toutefois, je continue à m'interroger, notamment sur le plan technique, même si M. Bothorel a expliqué l'intérêt d'appliquer la mesure au niveau des navigateurs. Pourquoi ne pas prévoir que les interfaces de programmation d'application (API) ou les add-ons des navigateurs constitueront des listes, afin d'éviter les possibles conflits de normes, en particulier avec les États-Unis, et d'embrasser les logiciels libres téléchargés, pour lesquels nous n'aurons pas d'éditeur accessible ?