Cet amendement technique, auquel j'ai travaillé avec le Conseil national des barreaux, tend à préciser que ce qui est prohibé n'est pas la publication, mais le fait de porter à la connaissance d'un tiers le montage réalisé avec les paroles ou l'image d'une personne et présentant un caractère sexuel. Il permettra de lutter bien mieux contre les deepfakes à caractère sexuel.