Vous considérez que le dispositif actuel est suffisant.
Si je prends l'exemple de l'éducation à la sexualité en milieu scolaire, les textes existent mais leur application n'est pas suivie étroitement et les moyens, une fois encore, ne sont pas au rendez-vous.
Le projet de loi vise à protéger contre les dangers de l'accès au numérique – nous en avons évoqué beaucoup depuis deux jours. Puisque les moyens manquent pour appliquer les mesures coercitives, autant faire de la prévention. Le sujet est suffisamment important pour que nous lui accordions la place qu'il mérite.