L'amendement CS242 vise à poser le même garde-fou législatif, en précisant bien que l'interdiction ne s'applique qu'aux technologies de reconnaissance biométrique. Nous voulons en effet laisser la porte ouverte aux solutions de reconnaissance algorithmique comme celle qu'est en train de tester Docaposte – une solution de reconnaissance faciale permettant d'estimer à trois mois près, sans aucun stockage de données, l'âge d'un individu.