Une fois n'est pas coutume, j'irai dans le même sens que le rapporteur général.
Dans le budget vert, 90 % des dépenses ne sont pas cotées : on voit les limites de cet outil. Les dépenses non cotées comprennent aussi l'essentiel des dépenses de personnel : pour aller plus loin, il faudrait une analyse fine de l'activité des différents services.
Ce sont surtout les dépenses d'investissement qui peuvent être classées comme favorables ou défavorables ; en ce qui concerne les dépenses de fonctionnement, il y aurait toujours une grande part de dépenses non cotées.
Le budget vert devrait donc être profondément réformé pour constituer un véritable outil de pilotage de l'État.