Je regrette que le présent texte ait omis d'explorer une autre piste, celle des parrainages entre les anciens et les jeunes : ces derniers se verraient enseigner leur métier par ceux qui les ont précédés, avec l'assurance d'être ainsi formés aux vraies techniques. J'insiste, il y a un vrai déficit de formation. Et parmi celles qui sont déjà proposées, certaines s'avèrent insuffisantes. Monsieur le rapporteur, on ne forme pas un soudeur en 455 heures, ni même en un an ! Cela demande des années d'expérience. Bref, le savoir-faire et les compétences dont on jouissait par le passé sont aujourd'hui perdus.