…avec 5 % de taux de chômage, il sera de 16 milliards d'euros.
Nous voulons mettre à contribution l'Unedic pour des dépenses que nous appelons actives, car elles permettront, en finançant la formation, l'investissement dans les compétences et l'apprentissage, de réduire le taux de chômage. Ce sont des investissements qui seront utiles à l'Unedic.
Grâce aux perspectives que j'ai évoquées, malgré ces investissements, l'Unedic pourra réduire sa dette de moitié d'ici à la fin du quinquennat, en 2027. Si d'autres établissements publics ou de protection sociale avaient la même capacité de réduire leur dette de moitié dans cette période, tout le monde s'en réjouirait.
Nous ne ruinons donc pas l'Unedic. Au contraire, nos réformes et les résultats de la politique économique permettent à cet organisme de renouer avec les excédents, de se désendetter, tout en étant mis à contribution pour financer les politiques de formation et d'emploi.