Je souscris aux propos de MM. Clouet et Delaporte. Monsieur le ministre, alors que, depuis le début de l'examen de ce texte, nous essayons de braquer les projecteurs sur cette question, pour ce qui me concerne, je n'ai pas obtenu les réponses attendues. Si je peux comprendre les raisons qui vous conduisent à rester silencieux, vous devez présenter à la représentation nationale un état de lieux de la situation et votre état d'esprit.