En réalité, vous êtes en train d'étendre le champ de la politique purement comptable de l'accompagnement, alors que les besoins sociaux sont croisés, voire multiples. Il faudrait dès lors une approche globale des problèmes, à 360 degrés, ce qui est l'objet de l'amendement suivant.
Pousser les structures à faire du chiffre et à rentrer dans des cases, c'est potentiellement tendre ces structures en interne, car cela les empêchera de faire correctement leur travail, mais c'est aussi mettre la pression sur les personnes qui sont suivies et accompagnées.