Tout à l'heure, vous avez insisté pour que l'on intègre les représentants patronaux ; nous étions d'accord, justement parce que nous parlons de questions d'emploi. Mais maintenant que nous vous proposons d'intégrer les représentants des salariés, vous n'êtes plus d'accord. Lorsque j'ai souligné le fait que vous étiez nombreux à vous manifester dès lors qu'il s'agissait de faire une place aux représentants patronaux, vous avez hurlé. Vous êtes pourtant exactement en train de faire la démonstration de ce que je critiquais tout à l'heure : quand il s'agit de faire la politique des patrons, il y a du monde ; quand il s'agit de faire la politique des salariés, il n'y a plus personne !