Je comprends totalement les craintes de M. Le Gac, car elles sont partagées par un grand nombre de départements français, qui voient dans cette disposition une forme de recentralisation – une tendance que nous dénonçons depuis le début de l'examen de cet article. Avec cet amendement, qui reprend d'ailleurs partiellement les dispositions que nous avons présentées il y a quelques instants, M. Le Gac vient à notre rescousse. Qu'une majorité éclairée s'intéresse au fond du texte et se refuse à doter le ministre d'un droit de regard sur tout, c'est important ! Je devine que notre collègue va retirer son amendement, mais je le reprendrai.