qui fait de la sécurisation du parcours ainsi que du droit à un salaire et à un emploi la propriété collective de tous les travailleurs.
L'esprit de compromis est important ici, puisque nous sommes prêts à nous satisfaire d'un paritarisme à cinquante-cinquante – même si je ne résiste pas au plaisir de rappeler que le paritarisme original de 1945, c'était un quart de patrons et trois quarts de salariés !